UFPCI: Zoro Marc revient à la charge.
Suite au communiqué de la fédération ivoirienne de football, Marc Zoro revient à la charge et apporte des précisions sur la portée de l'UFPCI.
C’est probablement le début d’une grande période de lutte entre responsables du football ivoirien. Alors que l’ex-international Zoro marc annonce la création d’une nouvelle association de footballeur professionnel UFPCI, la FIF émet un communiqué pour interdire à ses partisans de s’allier à cette organisation qu’elle ne reconnait pas.
Face au refus de la Fédération ivoirienne de football, d’accepter l’avènement de ce celui qu’on appelle « un nouveau concurrent », Zoro Marc revient à la charge et fait des précisions.
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Zoro Marc à la tête d’un nouveau syndicat de footballeurs professionnels.
Je ne cherche pas à être reconnu par la fédération ivoirienne de football, mon objectif n’est pas d’être un groupement d’intérêt, mais plutôt aider et défendre les droits des footballeurs ivoiriens, L’UFPCI est reconnu par la FIFpro, alors que la FIFA ne reconnaît que les associations de joueurs qui sont affiliés à la FIFpro, je peux collaborer avec la fédération puisque c’est nécessaire, maintenant si la fédération refuse, elle pourrait recevoir des notifications de la FIFA, comment cela va se passer, je ne sais pas. UFPCI est une association indépendante, l’article sur lequel la fédération fait référence concerne les groupements d’intérêts et je ne me sens pas concerné…
a déclaré le président de l’Union des Footballeurs Professionnels de Côte d’Ivoire sur le plateau de la 3.
Outre cette discorde, un autre fait vient s’ajouter, relançant ainsi le débat auprès des membres actifs du football ivoirien. Il s’agit du droit d’adhésion à l’association des footballeurs ivoirien (AFI) et l’union des footballeurs professionnels de Côte d’Ivoire (UFPCI).
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Pour l’AFI, les droits d’adhésion sont de 10.000 f pour la ligue 1 et 5 000 f pour la ligue 2. Tandis que la nouvelle association fait une tarification homologuée de 10 000 francs CFA pour la ligue 1 et 2 ainsi que pour le football féminin.
Les hostilités se poursuivent et l’on espère une issue favorable pour les différentes parties impliquées dans cette histoire, car en dépit de toutes les controverses, il est important de noter qu’ils convergent tous vers un idéal commun, la réussite et le développement du football ivoirien.
