Une invitée sur le Yvideroshow : «Je ne sais pas qui tu es et comment tu t’es retrouvé sur ce plateau»

L’émission Yvideroshow, osons le dire, a le chic pour susciter d’innombrables polémiques sur la toile via le canal de la NCI (Nouvelle Chaîne Ivoirienne).

À chaque numéro de cette émission, on s’attend aux frasques de l’animatrice, en l’occurrence Yvidero elle-même,  à la dérive de l’un de ses Chroniqueurs ou ses invités.

Après le grand buzz de l’affaire parrain qui a indexé le ministre ivoirien, Adama Bictogo, c’est aujourd’hui l’énorme clash entre la photographe et webmaster, Rachèle Dépri-Crasso dans la peau de l’invitée et l’un des chroniqueurs phares de cette émission à la langue abrupte et péremptoire, Edwin Anoma,  d’animer la toile depuis le Vendredi 22 Avril 2022.

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Edwin Anoma et Rachèle Crasso : On ne se connaît pas, on se vouvoie…

Dans cette émission, entre invités(es), animatrice et Chroniqueurs, le mercure monte, la température est chaude, pis, bouillonnante.

Interrogée à propos de sa réaction très sévère de cyber-activiste dans la polémique entre les coachs Hamond Chic et Lady Sonia, l’invitée Rachelle Crasso avait du mal à apporter une réponse convenable, tellement qu’elle était taraudée par le chroniqueur, Edwin Anoma qui prenait un malin plaisir à lui mettre des bâtons dans les roues avec son expression  «Pkapkato d’internet» qu’il lui attribuait successivement.

De ce fait, la température battait son plein sur le plateau dès son entame (les 5 premières minutes) .

Déjà de nature «Répliqueuse», comme le montre son  assertion suivante

Quand les gens m’attaquent, je riposte, mais de façon disproportionnée

,Rachelle ne cessait d’avertir qu’une réplique très virulente allait bientôt voir le jour suite à l’attitude un peu trop déchaînée du Chroniqueur Edwin Anoma, sur sa personne.

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Elle avait dit de manière anaphorisée :

Je vais terminer ! (…) Je vais te répondre…

Prenant très à la légère ces  «avertissements», Edwin avait même l’aise de lui dire

Vous ne terminez pas. (…) Est-ce que ça vous concerne ?

Connaissant l’attitude de Rachèle Crasso et la volonté d’Edwin d’en venir au clash, apparemment inéluctable, Crasso lui donna un avant goût de ce qui allait suivre via un proverbe

La danse qui vient vers toi, faut pas courir pour aller vers…

Vexer par les ovations et les railleries du public, des autres chroniqueurs, invités(es) et Yvidero,  elle-même suite à ce proverbe provocateur, Edwin semblait vouloir égaliser coûte que coûte en rendant à Rachèle la monnaie de sa pièce. Quit même à dépasser les limites, oubliant qu’il s’adressait à une aînée.

Pour la déstabiliser, à chaque fois que Rachèle Crasso s’adressait à lui, il exigeait d’elle un vouvoiement.

Vouvoyez-moi (…) On ne se connaît pas, je ne suis pas votre ami. (…) Je ne vous connaîs pas.

arguait-il à chaque instant où Rachèle Crasso omettait de le vouvoyer.

Pour rendre encore plus acerbe son entreprise d’humiliation de cette invitée, il largua des «bombes verbales» quand elle parla de sa profession de photographe.

Rachelle

Je suis photographe

Edwin, l’interropant

En famille ? Au quartier ?

Obligeant Rachèle Crasso à se poser la question suivante

Je ne sais pas qui tu es et comment tu t’es retrouvé sur ce plateau ?

avant de lui déballer tout son bagage professionnel bardé de diplômes en photographie professionnelle avec un  grand «P» et de conclure cette séance de clash en disant

Quand je commençais (la photographie de haut niveau) tu étais encore sur les bancs.

Cette réponse directe et tranchante de Rachèle Crasso a finalement poussé Yvidero à recadrer comme il se doit son chroniqueur.

Les internautes n’ont pas manqué de qualifier Edwin Anoma «d’impoli»

« Je suis ivoirienne »

Pour rappel, la raison pour laquelle Rachèle Crasso avait participé au débat-clash sur les réseaux sociaux de l’affaire coach Hamond Chic et Lady Sonia, s’inscrit dans une trajectoire purement patriotique et nationaliste. Elle défendait sa «sœur» ivoirienne humiliée sur un plateau ivoirien.

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