Scandale Porta Potty à Dubaï : Camille Makosso cité dans une émission française…
Camille Makosso détient-ils réellement les preuves des influenceuses qui ont subit des pratiques dévalorisantes à Dubaï ? Il a récemment été cité dans une célèbre émission française.
Cette histoire de «Porta Potty» (femmes toilettes) à Dubaï n’aura jamais autant fait jaser la toile. Tous les médias de la planète entière en parle. Des enquêtes de plus en plus poussées pour le démantèlement de ces réseaux scabreux pour la gent féminine, en particulier sont menées.
Dans l’émission française qui traite de l’humour et de l’actualité du petit écran, animée par Cyril Hanouna et ses chroniqueurs, le nom du révérend Camille Makosso fut cité. Une première !
«Scandale et révélations sur les influenceuses à Dubaï ! Témoignages et infos !» tel fut le titre de cet énième numéro de l’émission «Touche pas à mon poste ! » animée par Cyril Hanouna et diffusée officiellement sur les chaînes C8 et France 4.
Dubaï Porta Potty : Camille Makosso s’invite dans le dossier
Dans le numéro de cette émission qui traitait des pratiques horribles dont sont victimes les influenceuses de toute horizon, à Dubaï, le chroniqueur et journaliste Gilles Verdez a stipulé
J’ai parlé aujourd’hui avec un influenceur, il est révérend, protestant africain. Il est en Côte d’Ivoire, Camille Makosso. Il m’a révélé qu’i y avait mille femmes africaines qui étaient recrutées par un réseau Tiktok pour être esclaves sexuels à Dubaï. Il y a trois jeunes femmes camerounaises qui ont disparu, il y a eu un suicide. C’est des Miss, des mannequins, des actrices. Cameroun, Côte d’Ivoire, Sénégal, plein de pays. Il est effrayé, y’a un réseau, y’a des humiliations racistes et lui il se mobilise pour que ça cesse…
Le général Camille Makosso affirme détenir des preuves tangibles des pratiques humiliantes que subissent les stars et influenceuses à Dubaï. De ce fait, il disposerait d’une liste sur laquelle les noms de ces femmes figurent. Il avait annoncé les prémices, esquisses de ses enquêtes dans un direct Facebook le 3 Mai 2022.
Direct dans lequel d’ailleurs, il avait rangé par ordre de nombre, les pays africains dont les influenceurs et stars ont subit ou subissent toujours des pratiques bizarres à Dubaï. Il en ressort de ce classement que la Côte d’Ivoire occupait la deuxième place avec 57 filles.
Pour rappel, la slameuse burkinabè Rama a donné un ultimatum de 72 heures au général Camille Makosso afin qu’il puisse prouver de manière publique que les influenceuses burkinabè soient réellement impliquées dans cette lugubre machination. Dans le cas contraire, il serait passible d’une poursuite judicaire, avait-elle souhaité.
Connaissant Makosso, une réplique ne tardera peut-être pas…