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Fatim Diésel et Dezy Dokui : « Dieu voulait passer par nous »

Fatim Diésel et Dezy Dokui, les deux danseuses de mapouka qui assurent lors des évènements étaient les invités de Peopl’Emik.

Si elles étaient célèbres, l’évènement de Jonathan Morrison, le CAM Tchin-tchin 2022, a accru leur célébrité. Peut-être pas de la plus belle des manières certes. Mais la visibilité, elle, a été beaucoup plus recrudescente.

En effet, l’une des danseuses, en l’occurrence Dezy Dokui, originaire de l’Ouest de la Côte d’Ivoire, a fait l’objet d’un énorme scandale. Ignorante et prêt à tout pour assurer le show de son public, elle avait dansé sur un agent de Police, le sous-officier Taho Junior, perturbant ainsi l’exercice de la fonction de ce dernier.

Pour cet incident devenu viral sur la toile, Dezy fut interpellée, déférée avant d’être entendue par le procureur de la République puis remise en liberté. Face au taquin Anaconda, chroniqueur désormais à Peopl’Emik qui leur a demandé ce qu’elles retenaient de tout ce mauvais buzz Dezy Dokui et Fatim Diésel ont répondu :

Fatim Diésel et Dezy Dokui sur le Plateau de l’émission Peopl'Emik
Fatim Diésel et Dezy Dokui sur le Plateau de l’émission Peopl’Emik

Beaucoup de leçons parce que ce n’était jamais arrivé. C’est Dieu qui l’a voulu et il voulait passer par là pour qu’on ait aujourd’hui un nom, une image et autres…

Puis elle renchérit :

Tout ce que Dieu fait est bon. On retient qu’on doit vraiment respecter la tenue. Dieu a voulu passer par nous pour faire comprendre à beaucoup d’autres danseuses qu’il y a des limites à ne pas franchir…

Et à Anaconda d’en rajouter une couche :

Il faut bien préciser (…) Jaune- bleu, vigile ça y’a pas de problème.

La leçon bien cernée, Dezy Dokui précisa à son tour :

Tout ce qui est autorité, il faut respecter. En un mot on ne fait plus ça. Maintenant quand on va prester, on fait notre choré, on quitte la scène. Il ne faudrait plus que les gens viennent vers nous pour danser.

a-t-elle conclu.

Lire aussi Dezy Dokui interpellée par la police ivoirienne.

Dezy Dokui interpellée par la police ivoirienne.

Il est important de préciser qu’elles ont voulu faire comprendre que ce n’est pas parce qu’elles s’adonnent à des danses publiques qui frisent l’érotisme qu’elles sont des femmes faciles. Elles prestent pour le public et leur cachet de 300.000 francs leur suffit. Elles ne donnent aucune prestation privée à huis clos même pour un fort montant, ont-elles fait savoir.

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Dezy Dokui remise en liberté.

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