Une kenyane forcée de donner à têter à des chiots en Arabite Saoudite.
Une scène choquante a fait le tour de la toile au Kenya. Une jeune femme kenyane a été forcée d’allaiter les chiens de son patron saoudien qui la filmait. Un acte inhumain et affligeant qui a été condamné par l’Organisation centrale des syndicats du Kenya.
Une situation inhumaine a été infligée à une ressortissante kenyane en Arabie Saoudite. Nos confrères d’afrikmag ont indiqué qu’une jeune femme a été forcée par son employeur saoudien à allaiter ses chiots pendant qu’il la filmait. En fait, la kenyane en question était nourrice lorsqu’elle a décidé d’aller travailler en Arabie Saoudite. La vidéo qui circule sur les réseaux sociaux dans le pays de William Ruto choque les populations.
Lire aussi: Une américaine fait plus de 15 mille kilomètres pour rencontrer son âme sœur en Tanzanie.
Une américaine fait plus de 15 mille kilomètres pour rencontrer son âme sœur en Tanzanie.
Le premier responsable de l’Organisation centrale des syndicats du Kenya (COTU), en la personne du secrétaire général, Francis Atwoli, a d’abord expliqué la situation avant de monter au créneau pour condamner cette attitude affligeante.
Elle a laissé son mari et ses enfants au Kenya deux mois après avoir accouché. Quand ils ont réalisé qu’elle pouvait allaiter, l’employeur lui a donné un travail d’allaitement des chiots.
, explique-t-il.
En même temps, le secrétaire général a lancé un appel au gouvernement kenyan à interdire les agences de placement qui supervisent la migration des travailleurs kenyans vers l’Arabie saoudite.
C’est de l’esclavage indirect, je veux faire appel à notre gouvernement pour qu’il agisse comme l’a fait le gouvernement du président Kibaki sous Phylis Kandie. Et de revoir également les questions liées à l’emploi à l’extérieur, comme le préconise l’Organisation internationale du travail.
, préconise-t-il.
Lire aussi: Insultée et moquée en raison du choix de son homme, cette journaliste s’exprime et assume son choix.
Insultée et moquée en raison du choix de son homme, cette journaliste s’exprime et assume son choix.
Avant de demander aux autorités keynanes de régler le problème :
Laissons le Kenya négocier avec l’Arabie saoudite sur les termes et conditions de service… afin que notre peuple puisse avoir des emplois décents et non un travail d’allaitement de chiens.