« il ne me reste que quelques jours, je pleure…. » un brouteur fait des confidences
Sentant sa mort prochaine, un jeune ritualiste fait des confidences sur la source de sa richesse et profite pour conseiller les jeunes.
L’amour effréné de l’argent facile pousse certains jeunes à commettre l’irréparable. Entre sacrifice, rituel et arnaque, les jeunes d’aujourd’hui ne cessent de commettre ces actes abominables et ce au dépend de leur vie.
Un jeune homme qui a affirmé s’être engagé dans des rituels d’argent avant de se repentir et d’accepter le Christ s’est tourné vers les réseaux sociaux pour conseiller ceux qui envisagent de suivre cette voie.
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Racontant comment il est tombé dans la dépression après son embarcation dans des rituels d’argent, le désormais ancien ritualiste identifié comme Tobenna a prodigué des conseils à l’endroit des jeunes, leur interdisant de ne jamais faire de rituels, car l’argent vient avec tristesse.
Selon Tobenna, après avoir rassemblé toute sa richesse grâce à des rituels, il ne lui reste plus que quelques jours à vivre, et chaque fois qu’il s’en souvient, cela lui brise le cœur.
S’il vous plaît, ne faites pas de rituel, l’argent vient avec tristesse. Je donne ma vie à Christ en ce moment. Chaque fois que je me souviens qu’il me reste quelques jours, je pleure. Vous allez tous me manquer 💔💔🥺.
a-t-il écrit.
Ce genre de scène est assez connu dans le monde des ritualistes. De nombreux témoignages de la sorte ont déjà fait tache d’huile sur les réseaux sociaux et dans plusieurs localités du monde.
L’argent facile n’est pas sans conséquence et cela de plus en plus de jeunes l’ont compris par le biais de plusieurs témoignages aux fins dramatiques.
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Un ancien brouteur témoigne: «J’achetais des poches de sang au CHU pour mes rituels»
Un ancien brouteur avait lors d’un reportage avoué qu’il achetait des poches de sang dans des hôpitaux pour abreuver son fétiche. Cependant, le fétiche voulant toujours plus a demandé un grand sacrifice afin d’accroitre sa puissance en liquidité, le fétiche lui aurait demandé sa mère en sacrifice. En fin de compte, le jeune brouteur a stoppé cette pratique et s’est vite rangé du côté de l’église afin de sauver son âme.
