Un couple craint pour la vie de leur fille, violée à 8 ans.
Un couple était l’invité de ce mardi 1er Novembre à l’émission C’Midi. Il était présent pour parler du viol de leur fille âgée de 8 ans qui a des infections sur ses parties intimes.
L’émotion était à son comble à l’émission C’Midi de ce mardi 1er novembre sur RTI1. L’atmosphère était également lourde. La colère et l’indignation se lisaient sur le visage du public. Un couple dont l’identité n’a pas été dévoilée était sur le plateau pour parler du viol de leur fille âgée seulement de 8 ans. En effet, selon les propos de la petite fille rapportés par le père, le viol s’est produit un week-end lorsque la fillette revenait d’un cours de renforcement chez sa maîtresse.
C’est à son retour de l’école qu’un monsieur l’a ramenée chez lui
, explique la chroniqueuse de C’Midi.
Lire aussi :Ne supportant pas le mariage, elle fuit son premier mari et tue le second.
Ne supportant pas le mariage, elle fuit son premier mari et tue le second.
Bien plus, l’institutrice en question a donné sa version des faits à la chroniqueuse de C’Midi.
La maîtresse nous a expliqué que cela fait 5 ans qu’elle fait son métier d’institutrice. Le viol ne s’est fait chez elle. Elle a toujours veillé pour que les enfants soient dans un environnement propice. Elle a toujours veillé à raccompagner les enfants à la maison. Même si ce n’est pas elle qui les raccompagne, c’est au moins une personne d’un certain âge qui le fait
, dit-elle.
Lire aussi :Elle fait croire à son mari qu’elle part travailler à Dabou et s’exile en Europe.
Elle fait croire à son mari qu’elle part travailler à Dabou et s’exile en Europe.
Après le forfait du bourreau qui court toujours, la fille a toutes ses parties intimes endommagées. Même sa partie rectale est touchée. Elle ne fait que pleurer à cause de la douleur et mange difficilement, a fait savoir la génitrice de la petite. Les parents qui n’ont pas les moyens de soigner leur fille ne savent plus à quel saint se vouer. Parce que les parties intimes de la fille de 8 ans sont infectées d’où le pus qui se dégage. Une plainte a aussi été déposée par le père à la police qui a demandé un certificat médical. En attendant, la suite de l’enquête, le Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant dont la première responsable, Nassénéba Touré, a décidé de prendre en charge de façon intégrale les soins médicaux de la petite fille.