Rebondissement dans l’affaire du petit de Wozo Vacances : Un promoteur de spectacle le démasque «C’est toujours lui qui vient de Man»
Du nouveau dans l'affaire concernant le petit maltraité à Wozo Vacances. Un promoteur de spectacle fait des révélations
Le mercredi 10 juillet 2024, un événement tragique secouait Wozo Vacances lorsque la sévère réprimande infligée à un petit garçon avait suscité l’indignation des internautes, mettant en cause Tata Naomie et la RTI.
Aujourd’hui, de nouvelles révélations concernant cet enfant sont apparues, émanant du promoteur de spectacle Stéphane Okobet.
Stéphane Okobet, bien connu dans le milieu des spectacles, a fait des déclarations troublantes concernant l’enfant en question. Lors d’un récent événement, il a remarqué que le même enfant qui avait été au cœur de la polémique à Wozo Vacances se trouvait sur sa scène.
L’enfant s’était spontanément proposé comme candidat lors d’un concours de karaoké, malgré l’impossibilité pour lui de participer sur la chanson prévue. Malgré les instructions données pour qu’il descende de la scène, l’enfant a persisté à chanter avec le micro du karaoké, nécessitant une intervention pour le faire descendre calmement.
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Lorsque Roseline Layo, l’artiste attendue pour la prestation principale, a été informée de la situation, elle a invité l’enfant à monter sur scène. Il a alors exprimé son désir de retourner chez ses parents à Man, en demandant de l’aide pour réaliser ce voyage. Touchée par son histoire, Roseline Layo lui a remis une somme de 100 000 F CFA avant qu’il ne quitte la scène.
Stéphane Okobet, interloqué par cette rencontre, a réalisé plus tard en visionnant la performance de Roseline Layo qu’il s’agissait bien du même enfant impliqué dans l’incident de Wozo Vacances. Ce dernier avait déclaré venir de Man afin de voir des artistes renommés comme Willy Dumbo, Roseline Layo et Tata Naomie.
Cette nouvelle révélation soulève des questions sur la situation de l’enfant et la nécessité pour les promoteurs de spectacles d’être vigilants face à de telles circonstances. Stéphane Okobet a conclu en mettant en garde ses pairs contre des situations similaires à l’avenir, soulignant que la situation de l’enfant pourrait cacher des intentions troubles.
Cette affaire continue de susciter émotion et réflexion quant à la protection des enfants dans le monde du divertissement et de la culture en Côte d’Ivoire.
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