Après avoir assassiné sa petite amie qui lui a brisé le coeur, ce footballeur laisse une note.
Mohammed Agogo Barry, ce footballeur Libérien, laisse un message sur papier pour justifier son acte d'assassinat de sa petite amie qui avait brutalement mis fin à leur union.
Cœur brisé, n’a point de raison ! Cette expression aurait dû exister. C’est à une situation plus que tragique qu’a abouti une rupture de couple, simple, en apparence.
Quand c’est fini, c’est fini…
L’irréparable s’est produit au Libéria, pays limitrophe de la Côte d’Ivoire par l’Ouest. En effet, un jeune joueur évoluant dans un club de football en division mineure au Libéria, a mis fin aux jours de sa petite amie et compagne, après qu’elle ait mis fin à leur relation amoureuse.
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Aucune miséricorde ! Représailles…
C’est sur un cœur d’acier qu’est tombée la jeune demoiselle car la relation à laquelle elle venait de mettre fin, fut finalement la dernière de toute son existence…
A cet effet, elle fut sauvagement assassiné par son petit ami à qui elle venait d’attribuer la distonction d’ex. Cette distinction, sonna aux oreilles de ce dernier comme une digression apparemment inacceptable et impardonnable, si l’on s’en tient au meurtre qu’il a commis par la suite.
En effet, ne pouvant supporter et tolérer la rupture inopinée d’une relation pour laquelle il avait consenti tant d’efforts et de sacrifices, le défenseur, Mohamed Agogo Barry, évoluant pour le Comté de Bomi, au Libéria, a commis l’irréparable avant de laisser une note qui en dit long. On vous laisse lire :
La décision que j’ai prise m’a conduit à ce que je suis aujourd’hui. Frères et sœurs, soyez prudents et ne commettez pas l’erreur que j’ai commise dans la vie. Écoutez votre père et votre mère.
La femme pour qui j’ai abandonné ma famille est la femme qui a détruit ma vie et mon avenir. Elle m’a abandonné au point que j’ai tout perdu dans ma vie. Tout ce que je demande, c’est que mon père, ma mère, mes frères, mes sœurs, mes fans et mes proches me pardonnent pour ce que j’ai fait. Sachez que ce que je m’apprête à faire est un péché mais je ne peux pas vivre avec. Je vous aime maman et papa, je vous aime et je vous aimerai toujours. Si je vous avais écouté alors, j’aurais été à un autre niveau mais je ne supporte pas ça, je ne peux pas vivre avec ça. S’il vous plaît, prenez soin de ma fille, Mary Barry.
Mohammed Agogo Monstre Barry
Il est également très important de stipuler que Mohammed Agogo Barry, s’est qualifié de « Monster » dans son message. Il est par ailleurs hâtivement recherché par la police Libérienne…
Quel triste destinée pour la fille de ce si jeune couple…
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