La société ivoirienne est secouée par le terrible meurtre de Yohou Emmanuelle

C’est une once de tristesse qui a happé la toile ivoirienne dès la matinée du 12 Septembre 2024. En effet, de multiples publications toutes différentes les unes les autres, se rejoignaient pourtant sur un fait, le terrible assassinat de Yohou Emmanuelle, plus connue sous le pseudonyme de Océane Konan selon plusieurs sources.

Les faits

Après plusieurs recoupement d’informations, il semble que la la demoiselle ait été invitée par son copain, bien connu de ses amies qui  n’hésitaient pas à l’appeler le « beau des beaux ».

Selon leurs déclarations, le jeune homme achetait une allure sympathique et aimante. Il avait alors convié Océane Konan qui elle à son tour invita deux de ses amis à le rejoindre dans une résidence qu’il avait affrétée pour elles. Le motif, tenir compagnie à l’un de ses proches vivant au Maroc, mais séjournant en Côte d’Ivoire comme lui d’ailleurs…

Avec l’envie de s’amuser et de croquer la vie à pleine dent, les filles n’y voyaient aucune objection à  ce projet ordinaire à Abidjan. Après que l’une des filles du nom de Kimira due quitter la résidence en urgence, l’autre, Fatim est, quand à elle, partie en raison d’une scène assez osée entre Océane Konan et son « copain ».C’était, il semble, l’occasion rêvée pour le meurtrier de commettre l’irréparable et l’impensable. Il tua la fille avant de la décapiter savamment morceau par morceau.

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Il prit ensuite le téléphone de sa victime dans l’effet de rassurer ses proches que tout allait bien. Les amies d’Océane plutôt vigilantes, avaient vérifié cela et s’étaient rendues compte de la fourberie. Elles avaient alors alerté la famille de la victime à l’effet de se rendre à la police.

C’est la seule source assez fiable de cette histoire encore méconnue souffrant de plusieurs versions. L’une des plus répandues affirme également que l’assassin est le fils d’un haut placé dans la chaîne du gouvernement ivoirien, un dénommé KKF.

Une autre version stipule que le jeune homme n’était pas à son premier forfait. Au milieu de tout ce remue-ménage, se trouve la vérité. Ne dit-on pas que le mensonge a beau courir, il finit toujours par être rattrapé ?

Vivement que la police nationale se penche sur cette affaire afin d’éclairer les lanternes des populations. Pour le moment, les informations vont bon train. Restons vigilants sans oublier d’interpeller la Jeunesse ivoirienne à plus de prudence et à ne pas être flatter par le luxe facile puisque tout ce qui brille n’est pas or, dit-on.

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