Debordo Leekunfa : «Arafat est parti donc c’est moi qui dois chanter ? Ses enfants sont là»
En plein direct pour s'adresser à ses fans, Debordo Leekunfa tient des propos qui déplaisent aux chinois.
Le Mimi National dit Debordo Leekunfa a le chic pour s’attirer la foule des internautes, singulièrement celle des « chinois ».
Il faut le dire, Debordo Leekunfa ne supporte pas le fait que les adeptes du coupé décalé le rélèguent au second rang juste après le Daïshikan. Il dira même au cours de ce fameux direct :
Il n’y a pas deux capitaines dans un bâteau.
Affublé par la sphère médiatique du coupé décalé pour son absence régulière mélodiquement parlant, le Mimi national commence par se défendre en affirmant que la musique est pour lui un héritage, un don inné qu’il tiendrait de ses aïeuls :
Moi dans ma famille là, ma grand-mère côté paternel, elle n’est pas normale paix à son âme. Ma grand-mère côté maternel, elle n’était pas normale, elle n’était plus possible paix à son âme. Ma propre maman qui m’a mis au monde, elle n’était pas normale. Mon papa, (…) maintenant cette héritage de chanson là, c’est tombé dans ma main. (…) musique là, ça coule dans mon corps…
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Par la suite, mécontent de sa comparaison avec feu Dj Arafat, Debordo Leekunfa tâcle et fait tâche dans le cœur des chinois :
Beaucoup me disent Debordo, depuis Arafat est parti, c’est machin… Arafat est parti, Arafat est parti… Vous voulez dire que moi je suis second donc Arafat est parti c’est moi qui doit prendre non heinnn! Ya pas deux capitaines dans un bâteau. Arafat est parti donc c’est moi qui doit prendre le relais ? Ya Rafna, Ses enfants sont là, il n’ont qu’à chanter. Moi j’ai quoi à avoir dedans.
Des propos qui semblent avoir vexé nombre de « chinois » qui n’ont pas manqué de manifester leur mécontentement.
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