Voici ce que pense l’athlète Simone Biles de la nourriture française
Simone Biles émet des réserves sur la qualité des repas servis au village olympique de Paris
La nourriture servie au village olympique de Saint-Denis fait actuellement l’objet de vives critiques, notamment de la part de la célèbre gymnaste américaine Simone Biles.
Après une médaille d’or remportée par l’équipe américaine de gymnastique aux Jeux olympiques de Paris 2024, Biles a exprimé son mécontentement concernant la qualité des repas. Selon elle, les plats proposés ne sont pas à la hauteur de la renommée de la gastronomie française.
« Ce n’est pas vraiment de la cuisine française dans le village. Nous, c’est un peu plus sain… »
a-t-elle déclaré lors d’une interview à l’Arena Bercy.
La critique de Biles est partagée par sa coéquipière Hezly Rivera, qui ajoute avec une touche d’humour :
« Je ne pense pas que la nourriture soit très bonne ici. La cuisine française est censée être bonne… mais pas ce qu’on a ici, je ne suis pas sûre que ce soit le top. Mais bon, ça fait le job ! »
La situation alimentaire au village olympique a suscité diverses controverses. Avant les commentaires de Biles, la polémique portait principalement sur le rationnement des aliments, avec des préoccupations exprimées par plusieurs délégations sur le manque de viande et d’œufs.
En réponse à ces critiques, la délégation britannique a même décidé de faire venir son propre chef pour résoudre le problème.
Paradoxalement, bien que Simone Biles ait critiqué la nourriture, elle a été vue en train de déguster un pain au chocolat industriel, ce qui a engendré des réactions amusées concernant la qualité relative des produits emballés comparée à celle des boulangeries locales.
La situation au village olympique met en lumière les défis complexes de la gestion de la restauration pour des athlètes venant du monde entier, confrontés à des besoins alimentaires variés et des attentes élevées. Les organisateurs du village olympique proposent actuellement 550 menus différents pour satisfaire les exigences des 206 nations participantes. Toutefois, malgré ces efforts, les critiques persistent quant à la qualité et la quantité des repas servis.