À un an de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, la situation politique se tend alors qu’une quinzaine de partis de l’opposition, réclament l’ouverture d’un dialogue avec le gouvernement. Ces partis estiment que le processus électoral actuel est une source majeure de conflits et demandent des réformes profondes.
Contexte des revendications
Ces partis de l’opposition soulignent que la liste électorale en vigueur ne reflète pas fidèlement le corps électoral et remettent en question l’indépendance de la Commission Électorale Indépendante (CEI). Ils expriment des doutes sur la possibilité d’organiser des élections transparentes et acceptées par tous sans ces réformes, rappelant les violences électorales passées qui ont causé des milliers de morts lors des élections de 2010-2011 et plus récemment celle de 2020 qui s’est déroulée dans un climat très tendu entre feu Bédié et Alassane Ouattara.
Les enjeux d’un dialogue politique
L’absence de dialogue pourrait aggraver les tensions politiques, surtout à l’approche de l’élection prévue pour octobre 2025. Les partis de l’opposition insistent sur la nécessité d’un cadre apaisé pour éviter un nouveau cycle de violence. La révision imminente de la liste électorale par la CEI pourrait être une occasion cruciale pour engager un dialogue constructif entre le gouvernement et l’opposition.
L’Ivoirien rien nouveau sort de l’opium du tribalisme pour des élections apaisées en 2025. Les coups de fusil en Côte d’Ivoire à chaque élection, c’est terminé ! Vive la paix et la vraie démocratie en Côte d’Ivoire.
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