Le gouvernement Équato-guinéen arrête de nouvelles mesures strictes pour éviter de nouvelles dérives comme le cas Baltasar
Est puni d'un licenciement ou même d'une peine d'emprisonnement tout individu s'adonnant à des parties intimes dans le cadre professionnel.
La Guinée-Équatoriale est secouée par un scandale impliquant Baltasar Ebang Engonga, fils du président de la Commission de la CEMAC. Plus de 400 vidéos intimes ont récemment fuité sur les réseaux sociaux, provoquant une onde de choc au sein de la société équato-guinéenne. Ces vidéos, qui auraient été enregistrées dans son bureau et d’autres lieux, soulèvent des questions éthiques et morales, ainsi que des préoccupations quant à la sécurité sanitaire.
Et les sanctions tombent…
Le Procureur général du pays a rapidement réagi en annonçant l’ouverture d’une enquête pour déterminer si Ebang Engonga est porteur d’une maladie infectieuse qu’il aurait pu transmettre à ses partenaires. Cette décision met en lumière non seulement la gravité de l’affaire, mais aussi les implications potentielles pour la santé publique.
Dans ce contexte, Teodorin Obiang, vice-président de la Guinée-Équatoriale, a exprimé son inquiétude face aux conséquences sociales et familiales que ce scandale pourrait engendrer. Il a annoncé des mesures strictes, affirmant que
Les relations sex***uelles sont interdites dans les bureaux et que des mécanismes de contrôle sont déjà en place. Toute personne enfreignant cette règle sera sanctionnée et risque le licenciement.
Teodorin Obiang a également souligné que ce scandale pourrait menacer la sécurité nationale et entraîner une déstabilisation des structures familiales.
Cette situation risque d’avoir des conséquences incalculables sur notre société et notre économie.
a-t-il déclaré.
Cette affaire montre comment des actions personnelles peuvent générer des conséquences catastrophiques pour les enjeux sociétaux dans un pays déjà confronté à de nombreux défis.