Voici la véritable raison pour laquelle l’Algérie refuse de loger dans la Cité CAN
Les fennecs d'Algérie pour des raisons "d'intimité" refuseront de loger dans la Cité CAN
Le rideau se lève bientôt sur la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) et les regards se tournent vers les équipes nationales qui se préparent à fouler les terrains avec détermination et ambition. Au cœur de cette effervescence, une décision singulière a captivé l’attention : le refus des Fennecs d’Algérie de résider dans la cité CAN à Bouaké, privilégiant ainsi un havre d’intimité.
Contrairement aux explications traditionnelles fournies par d’autres équipes, les raisons invoquées par l’ambassadeur d’Algérie en Côte d’Ivoire, SEM Idriss Bouassilla, révèlent une dimension inédite.
Nous sommes très satisfaits de ce qui a été réalisé par la Côte d’Ivoire en matière de cité CAN, mais nous voulions un espace un peu intime. C’est la raison pour laquelle nous avons opté pour un hôtel qui n’est pas loin du stade.
a expliqué le diplomate algérien à l’issue d’une rencontre avec le Président du COCAN, François Albert Amichia.
Cette quête d’intimité ne se limite pas à la sphère sportive, mais témoigne d’une démarche plus profonde, révélant les nuances subtiles d’une équipe déterminée à se concentrer, à se préparer et à se connecter différemment avec son environnement, allant au-delà des attentes conventionnelles.
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À travers ce choix, les Fennecs d’Algérie semblent tracer leur propre voie vers la compétition, cherchant un équilibre entre le défi sportif et le besoin d’introspection. Loin de se renfermer, cette décision laisse transparaître une équipe consciente de l’importance de l’unité, de la cohésion et du ressourcement dans la quête de la victoire.
Dans le groupe D de la CAN, l’Algérie se prépare à affronter le Burkina Faso, la Mauritanie et l’Angola au stade de la Paix de Bouaké. Ce choix singulier de logement dévoile un aspect peu exploré du monde du sport de haut niveau : celui où l’intimité, la concentration et la préparation mentale se conjuguent pour forger le succès sur le terrain.
Une chose est certaine, après la CAN, ces logements serviront, car «brique ne pourrit pas» comme le dit l’adage.
