Samuel Eto’o clashe ses détracteurs: « j’écris mon histoire, les autres la commentent»

Samuel Eto’o Fils a été élu le 11 décembre 2021 à la tête de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT). Après son éléction, l’ancien capitaine des Lions Indomptables a été la cible de nombreuses critiques négatives un peu partout. Tout d’abord, le gouvernement camerounais qui a imputé au nouveau président de la FECAFOOT tous les maux dont a souffert la CAN 2021 au Cameroun. Ensuite, les camerounais ont aussi jeté leur dévolu sur l’ex-attaquant du FC Barcelone. Puis, au sein de la FECAFOOT, Samuel Eto’o Fils a eu des problèmes avec bon nombre de ses collaborateurs.

Rififi encore au sein de la FECAFOOT

Maintenant, c’est sur le plan personnel que l’ancienne gloire du football camerounais est touchée. Le média sportif espagnol Marca dévoilait, le 17 février dernier, qu’Eto’o avait été reconnu père d’une fille de 22 ans par la justice. Il aurait été condamné à verser une pension mensuelle de 1 400 euros à la jeune femme, Erika Do Rosario Nieves, dont il avait connu la mère lorsqu’il jouait encore au Deportivo Leganés à Madrid. Un scandale qui date de 1999. Eto’o avait refusé de reconnaitre Erika Do Rosario Nieves. 22 ans plus tard, des tests ADN auraient prouvé sa paternité.

Virée par Samuel Eto’o, l’ex-cheffe de Département Marketing de la FECAFOOT contre-attaque

Mais malgré ce climat tendu, l’ancien du Barça et de l’Inter Milan envoie des piques à ces détracteurs. L’ancienne gloire des Lions Indomptables a profité d’une rencontre avec les acteurs culturels camerounais pour glisser un message à ses nombreux détracteurs.

Je suis de ceux qui écrivent l’histoire. Je n’aime pas commenter l’histoire. J’écris mon histoire, les autres la commentent. C’est pour cela que vous voyez ceux là même qui n’ont aucune vision, qui écrivent à longueur de journée sur moi. Je les lis, je les écoute. Mais le travail que je donne à ceux-là, c’est qu’ils vont commenter et commenteront toujours

, déclare-t-il.